• ...

     

    Nous continuons notre déambulation par, le salon des Huet de forme ovale, au centre de la façade sur jardin,

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    spécialement conçu pour y placer la suite de panneaux peints de scènes champêtres par Jean-Baptiste Huet

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    et son lustre à six bras de deux lumières (vers 1745-1755 en bronze ciselé et doré, garni de cristal de roche, améthyste et quartz fumé), 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    la salle à manger autre pièce en angle, 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    en pendant du grand salon,

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    le cabinet de porcelaines spécialement aménagé par Moïse de Camondo pour présenter sa collection

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    dont un service «Buffon» dont la beauté et la poésie témoignent du talent de la Manufacture de Sèvres 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    et dans lequel il prenait ses repas quand il était seul.

     

    Le petit bureau également appelé «Salon Anglais» est une pièce de petites dimensions aux murs tendus de soie cramoisie

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

     est aménagée avec raffinement,

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

     l’office de la salle à manger ou le maître d’hôtel recevait les plats déposés par le cuisinier dans le monte-plat 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    et c’est dans cette pièce que l’on rangeait la vaisselle de porcelaine et les verres et qu’elle était lavée sur place dans le double évier d’étain qui est surmonté d’un stérilisateur à ozone qui permettait de purifier l’eau. 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    Des différentes pièces, nous avons vue sur le jardin dessiné par Achille Duchêne (1866-1947) paysagiste renommé.

    Une pelouse ombragée propice au repos occupe presque tout l’espace,

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    tendis que sur la terrasse au pied de l’hôtel un décor de rinceaux de buis

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

     est en harmonie avec l’architecture.

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo (2).

     

    ...

     

    °koukou42°

     

     


    votre commentaire
  • ...

     

    Retour vers le parc Monceau pour la visite du musée Nissim de Camondo.

     

    Les comtes Abraham-Béhor (1829-1889) et Nissim de Camondo (1830-1889) qui sont de riche financiers de Constantinople et d’origine juive séfarade, anoblie par le roi d’Italie en 1867, s’installe à Paris pour y développer la banque familiale. 

     

    Moïse de Camondo (1860-1935) qui est un collectionneur passionné par le XVIIIe siècle 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    fait de son hôtel particulier l’écrin de sa riche collection.

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    Suite à la mort de son fils Nissim (1892-1917) il décide de vouer son hôtel et ses collections à la mémoire du disparu, trouvant ainsi un moyen de défier l’oubli en provoquant la naissance d’un lieu préservé du temps et de la mort : «le musée Nissim de Camondo» légué à l’État l’année de sa mort.

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    Nous commençons par le rez-de-chaussée bas et son vestibule 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    où l’on découvre une fontaine en forme de coquille en marbre rouge royal 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    et au pied de l’escalier d’honneur, une statue de marbre blanc qui figure Vénus et l’Amour.

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    Nous montons au niveau du rez-de-chaussée haut qui est réservé aux pièces de réception 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    desservies par une vaste galerie dont les deux bras perpendiculaires relèvent le plan de l’hôtel. 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    Nous pénétrons dans le grand bureau dont les murs sont lambrissés 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    et qui encadre des tapisseries d’Aubusson représentant les fables de la Fontaine.

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

     Le grand salon, grande pièce en angle ouverte sur le jardin 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

     

    aux boiseries blanc et or offre un cadre somptueux aux nombreux chefs-d’oeuvre que Moïse de Camondo y a disposé

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    dont une table à gradin dite «bonheur du jour» (vers 1766 en chêne plaqué de bois de rose, orné de bronze ciselés et dorés et de plaques de porcelaine tendre de Sèvres), 

     

    Echappée belle Parisienne. Le musée Nissim de Camondo.

     

    ...

     

    °koukou42°

     

     

     

     


    1 commentaire
  • Mercredi  22 février 2020. 

     

    Nouvelle échappée belle en ce début de matinée en arrivant à Paris et direction le 17ème arrondissement afin de déposer nos bagages à l’hôtel Glasgow Monceau.

    Découverte du quartier en passant devant «la cité de l’économie» situé au sein d’un monument historique hors du commun, l’hôtel Gaillard.

     

    Echappée belle Parisienne.

    Echappée belle Parisienne.

    Echappée belle Parisienne.

     

    Nous traversons le parc Monceau créé dans la seconde moitié du XVIIIe siècle pour le Duc de Chartes 

     

    Echappée belle Parisienne.

     

    dont il subsiste la fausse pyramide égyptienne 

     

    Echappée belle Parisienne.

     

    et au siècle suivant le lieu passe de 20 à environ 9 hectares et enjambant la rivière un pont est construit 

     

    Echappée belle Parisienne.

     

    et ou un monument est dédié à Chopin.

     

    Echappée belle Parisienne.

     

     Nous continuons nos découverte par l’imposante église Saint-Augustin élevé sous le Second Empire, de 100mètres de long, 80 mètres de haut au lanternon

     

    Echappée belle Parisienne.

     

    et dotée d’un dôme de 25 mètres de diamètres construite par l’architecte Victor Baltar

     

    Echappée belle Parisienne.

     

    avant d’aller déjeuner à la brasserie Lazare à la gare du même nom. 

     

    Echappée belle Parisienne.

     

    Lazare

    Rue Intérieure

    75008 Paris

     

    https://lazare-paris.fr/

     

    ...

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  • Dieulefit.  

     

    L'art se mur-mur (14).

     

    Lyon.

     

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

     

    Montpellier.

     

    L'art se mur-mur (14).

     

    Avignon. 

     

    L'art se mur-mur (14).

     

     

    Montargis.

     

    L'art se mur-mur (14).

     

    Paris.

     

    L'art se mur-mur (14).

    L'art se mur-mur (14).

     

    Toulouse.

     

    L'art se mur-mur (14).

     

     

    °koukou42°

     

     


    1 commentaire
  • ...

     

    Nous découvrons le passage Boyer dit «la rue vitrée» qui reprend le principe des passages couverts parisiens du XIXe siècle et qui est longue de 90 mètres,

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

     l’hôtel de ville (ancien Hôtel du marquis de Laroque)

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    la porte d’Orange qui est le dernier vestige des remparts du XVIe siècle 

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    avec son crénelage sur mâchicoulis en encorbellement et qui culmine à 26 mètres,

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    un fragment de l’ancienne muraille médiévale,

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    la cathédrale Saint-Siffrein construite pendant plus de cent ans et qui succéda à trois autres églises bâties sur le même emplacement.

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    On y pénètre par deux portails – La porte Notre-Dame dite «juive» au midi, très bel exemple de gothique flamboyant

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    et la porte principale, qui s’ouvre dans la façade classique rajoutée au XVIIe siècle. 

     

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

    Echappée belle Carpentrassienne. La ville & la cathédrale. (fin).

     

    Petite collation à la Pâtisserie Jouvaud avant notre retour sur Carpentras que nous quitterons le lendemain pour Lyon.

    https://www.patisserie-jouvaud.com/

     

     

     

     


    2 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires